Anne et Jean Lignères, d’une histoire de famille à une passion

Le Château La Baronne est un domaine familial géré par Anne et Jean Lignères, situé dans les corbières, au pied de la montagne d’Alaric. 

Aurélie Fléjo - Sowine New-York

C’est une histoire de famille puisque André et Suzette, les parents de Jean ont acheté le château à la fin des années 50. Le grand-père, lui, avait un négoce de vins : les vins Louis Lignères. « L’histoire du lieu raconte que le domaine doit son nom à une baronne qui l’avait acheté au 19è siècle et fait construire son château. Cela a naturellement donné le nom au domaine lorsque la famille a commencé dans les années 70 à en vendre les vins en bouteilles avec un engagement de plus en plus qualitatif » raconte Anne. 90 hectares composent aujourd’hui le domaine. Jean n’est pas que vigneron, il est aussi médecin généraliste. Comme l’explique son épouse Anne, « il est donc évidemment sensibilisé à ne pas utiliser de traitements non respectueux de la santé. Cet esprit du bon sens nous guide ne permanence dans notre vision du vin ».

En 2007 ils obtiennent la certification Bio, mais « ce n’était pas suffisant pour nous, nous sommes allés plus loin, cultivant notre volonté de ‘prévenir au lieu de guérir’. La biodiversité au sens noble est au cœur de nos démarches : intégrer le fonctionnement de la vigne dans la globalité de son environnement rend le système vivant plus sain, plus équilibré et donc plus fort et plus résistant aux diverses attaques». La biodynamie est donc la ligne de conduite du couple qui laisse la nature faire son oeuvre, qui l’accompagne, qui plante des arbustes et buissons autour des vignes, morcelle des parcelles avec des haies, crée des points d’eau et des zones humides.

Cette approche globale semble pertinente et a pour objectif de « renforcer l’équilibre du domaine, la vie microbienne des sols, la vitalité des vignes en améliorant leur défense immunitaire, tout cela dans le respect des cycles naturels. Nous avons ainsi des vignes centenaires qui s’épanouissent de mieux en mieux, ainsi travaillées depuis plus de 10 ans » précise Anne. Autant passionnés l’un que l’autre, Anne et Jean sont complémentaires dans le domaine. Si Jean gère la production, la vigne, le vin et les assemblages ; Anne, elle avec sa formation d’hydrogéologue, très sensible au milieu environnemental a suivi une formation d’œnologie et s’occupe de la partie commerciale, de la communication, et de « plein de facettes de la vie de vigneron » dit-elle en souriant.

La vinification est faite ‘avec amour’.

Ils l’annoncent clairement : « notre but ultime est de signer des vins libres et précis, qui font « parler » leurs terroirs et leurs cépages. Et de l’expression, de la fraîcheur, de la tension et de la dimension, de l’équilibre, de l’élégance, en somme, de l’émotion. Après une récolte manuelle, chaque parcelle est vinifiée et élevée séparément. Les fermentations sont menées naturellement en levures indigènes, en limitant les apports de soufre et sans aucun autre intrant. Un travail patient, confiant accompagne vinifications et élevages les plus doux possibles, en cuves, jarres et œufs de céramique (terre cuite ou grès), et barriques. Tout est fait pour préserver l’équilibre. »
Cela donne une belle gamme d’une douzaine de cuvées que vous pouvez retrouver sur le site

La distribution

Aujourd’hui, 50% de la clientèle est française (secteur traditionnel et partenariat avec la grande distribution) et 50% étrangère : « nous travaillons surtout en Europe, nous exportons également au Japon et en Chine, et aux les États-Unis, c’est en reconstruction. C’est une histoire de rencontre qui nous conduit vers Racines Sud, comme souvent. Nous n’avions pas encore cette fameuse ‘culture réseau’, nous sommes donc curieux et optimistes de voir, dans les zones où nous n’avons pas encore de représentants, ce que Racines Sud peut nous apporter. Ces liens des futurs contacts qui partagent des racines, des origines avec nous, nous rassurent finalement pour nous lancer ! ».

Christelle Albaric du cabinet Simon et Associés

Alberic Etienne : OOHEE missionne les expatriés français

Le constat de départ est simple : “beaucoup d’entreprises rencontrent des difficultés à s’internationaliser : cela coûte de l’argent et demande beaucoup de temps sans garantie de rentabilité, et en face, nous avons une force en présence : les expatriés”, voilà l’idée de départ de Etienne Poirot-Bourdain. De là est née Oohee, une plateforme de mise en lien des expatriés français/francophones en relais local et des entreprises : “c’était surtout à destination des conjoints, souvent experts, qui n’ont pas forcément encore trouvé du travail ou qui cherchent une activité ponctuelle, mais cela s’est étendu à l’ensemble des expatriés. Nous menons des missions de relevés de prix, de visites mystères, d’études de marché, d’identification de partenaires potentiels, de contrôle qualité et aussi du sur mesure.”

Albéric, alors ingénieur d’affaires, a souhaité investir dès le début dans le projet Oohee, puis “finalement, je me suis passionné par tout ce que je découvrais et je suis devenu cofondateur », raconte-t-il. Si le lancement de la plateforme a eu lieu en mars 2018, c’est début 2019 que les choses ont commencé à bien démarrer “nous avons près de 12 000 expatriés français/francophones inscrits sur la plateforme en relais local, évitant ainsi des déplacements devenus inutiles. Plus de 80 missions ont été réalisées pour des clients comme MMA, le groupe Savencia (agroalimentaire) ou encore une TPE artisanale : Céline Robert Chapeaux”. Si l’année 2020 a connu une baisse d’activité avec la crise du Covid-19, les affaires reprennent depuis mai/juin 2021 : “finalement, notre concept trouve de plus en plus sa place parce que les entreprises ne peuvent plus se déplacer. Pour un relevé de prix par exemple, c’est une économie non négligeable de passer par Oohee plutôt que d’envoyer un salarié. D’ailleurs, nous avons permis de faire économiser l’émission de plus de 200T de CO2 ! » ajoute Alberic. La plateforme n’a pas de limites dans les secteurs d’intervention, son rôle est de trouver la bonne personne pour la bonne entreprise à un coût raisonnable.

Les ‘Ooheers’ (membres de la plateforme) sont implantés dans plus de 150 pays en relais local. Les tarifs débutent à partir de 430€ HT/jour, ce qui représente un coût extrêmement compétitif.

Le fonctionnement

Pour les expatriés, il suffit de s’inscrire sur la plateforme, de décrire ses compétences, son expertise, ses centres d’intérêt. Ils doivent aussi déposer un CV et/ou leur profil LinkedIn. Du côté des entreprises, elles déposent la mission en ligne, la plateforme affine la demande et selon le type de mission, un ou plusieurs profils sont proposés dans un délai de 24h à une semaine en fonction de la complexité de la mission. L’entreprise rémunère Oohee directement, sans contrainte administrative. L’expatrié bénéficie, si besoin, d’un contrat de portage salarial international avec toutes les garanties et sécurités attenantes. La plateforme est agréée Team France Export (Chèque relance Export) et membre de l’OSCI.

La filiale Belge ESII à l’honneur

À Liège dans la pharmacie VPharma les boîtiers Weasy sont désormais disponibles en self-service pour supprimer les files d’attente et permettre aux clients de continuer leurs achats dans l’espace de vente : le boîtier affiche le nombre de personnes en attente. Quand un des comptoirs est libre, le Weasy sonne et vibre en indiquant où se rendre.

ESII salon Retail’s Big Show 2022 à New York

Pour poursuivre notre belle aventure en Belgique nous recrutons à l’heure actuelle un.e responsable des ventes pour promouvoir nos solutions d’accueil et accélérer notre croissance !

Private Equity et Infrastructures : une nouvelle source de performance

23 milliards d’euros : c’est le montant investi en 2020 dans 2150 entreprises et projets d’infrastructures. Puissant soutien aux PME et ETI durant la crise sanitaire, le Private Equity ou capital investissement a démontré son rôle crucial dans l’économie réelle. En effet, malgré ce contexte difficile, les levées de capitaux se sont montrées résilientes et maintenues à des niveaux élevés par rapport aux chiffres historiques.

Le rôle des institutionnels dans ces levées reste largement majoritaire, mais il n’en demeure pas moins que l’appétit des particuliers pour le Private Equity n’en démord pas ! Cette classe d’actif consolide tous les jours sa place au sein des stratégies financières et en devient une nouvelle source de performance.

Un relais de croissance dans le patrimoine des investisseurs privés

L’épargne sans risque ne rémunérant plus et les indices boursiers étant au plus haut depuis plus de 20 ans, les allocations stratégiques deviennent de plus en plus complexes à mettre en œuvre. Les particuliers à la recherche de performance l’ont bien compris, et pour espérer des retours sur investissements plus importants acceptent de se tourner vers les marchés alternatifs et celui du non-côté en particulier. Ce vaste marché peut lui-même être segmenté en plusieurs secteurs, chacun défini par des caractéristiques et avantages propres, mais avec des contraintes d’investissement communes : une liquidité inférieure et un risque de perte en capital plus élevé que les marchés traditionnels.

Les différents secteurs du non coté

  • Le private equity corporate a pour vocation d’apporter son soutien à l’économie réelle, en renforçant les fonds propres des entreprises non cotées en Bourse tout au long de leur existence. C’est le secteur dont les perspectives de performance seront les plus élevées.
  • Le private equity immobilier, quant à lui, cible comme son nom l’indique des activités au sous-jacent immobilier tangible. Il est très apprécié des investisseurs privés, par leur attachement à la pierre.
  • La dette privée permet de financer les entreprises par le prêt, considéré comme moins risqué que le financement par le capital et bénéficiant de l’environnement de taux historiquement bas.
  • Enfin, le secteur des infrastructures est considéré comme le plus technique et le plus difficilement accessible des particuliers. Il apporte une puissante diversification au sein des allocations grâce à des actifs décorrélés et des cash flows récurrents protégés contre l’inflation.

Les infrastructures : une classe d’actifs désormais accessible aux particuliers

Les infrastructures peuvent être définies comme les équipements nécessaires au bon fonctionnement d’entreprises, de collectivités ou de pays. Elles nécessitent un besoin permanent de rénovations, de modernisation et d’expansion ! En 2020, 5,3 milliards d’euros ont été investis dans 121 projets avec une prédominance dans le secteur de l’Energie et de l’environnement (énergies renouvelables, traitement des déchets, distribution et traitement de l’eau…), aux côtés des transports, télécommunications (fibre, data centers, smart cities…) et des infrastructures sociales (hôpitaux, bâtiments éducatifs…).

La durée de ce type d’investissement étant généralement très longue (parfois plusieurs décennies) et les montants de fonds propres requis conséquents, cette classe d’actif a longtemps été réservée aux institutionnels (assurances, fonds de pension, caisses de retraite) et fonds souverains. Les nouveaux véhicules d’investissement permettent maintenant une structuration adaptée aux particuliers, face à une demande forte. En effet, les perspectives de performances flatteuses et la possibilité d’investir dans des business accompagnant les enjeux de demain créent un véritable engouement… mais l’offre demeure rare !

Aussi, Crystal Finance vous accompagne dans la création d’une stratégie financière durable et la sélection de solutions exclusives.

Pour plus d’informations, n’hésitez pas à nous contacter par mail à l’adresse contact@groupe-crystal.com

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